Équilibre et Faiblesses Structurelles - Paradoxe Régional de l'Economie Marocaine:
Au Maroc, la politique économique demeure localisée si ce n’est figée entre deux pôles d’attraction, une mondialisation selon les termes et les conditions contractuelles issus de la juxtaposition du libéralisme et de la globalisation et la volonté récemment affichée des pouvoirs publics de redorer le blason de la régionalisation.
Ces deux axes se basent sur un dénominateur commun dont l'ultime et non-déclaré objectif pour chacune d’entre elles demeure effectivement la poursuite et la réalisation d’une croissance économique soutenue qui est d’origine et d'extraction extravertie.
Pour renverser cette trajectoire, le Maroc doit implémenter un processus correctif qui serait basée sur la participation et le renforcement des alliances au sein des collectivités régionales et des entités économiques participatives afin d’assurer une représentation cohésive de leur intérêts respectifs dans la planification du développement du Maroc. Cette approche consultative et participative devrait permettre au Maroc d’acquérir et de renouveler des capacités de négociation face aux tenants du marché international, permettant ainsi aux tenants de la décision économique au Maroc de répondre directement aux besoins nationaux en premier et de mettre en place des structures favorable au renforcement de l’efficacité du processus décisionnel de l'Etat Marocain et au renforcement des acquis démocratiques. Aucune duplication ne devrait être programmée pour des régions ou des communes rurales considérées similaires. La diversité de l'approche doit produire une diversité des solutions avancées. Ces propositions ne devraient nullement privilégier la facilité de boucler la mise en place de stratégies "copie carbone". Une telle duplication se justifiant sur la similarité des contrées rurales demeurent un raccourci et une tentative de recyclage d'ancien problèmes hérités d'une approche coloniale tournée vers l'exploitation et non la consolidation des bases du développement économique national.
En somme, les études comme leurs conclusions et leurs propositions d'ajustement doivent être basées sur des évaluations ciblées et résultantes des particularités et des besoins comme des potentialités de chaque région prise a l’écart des autres au niveau des prescriptions de solutions et de l'allocation des ressources pour son redressement.
Actuellement le Maroc est mis en face de la nécessité d’intégrer dans le cadre national toutes les régions du Maroc afin de créer une entité économique nationale homogène, complémentaire a travers le renforcement si ce n'est l'invention et l'implantation de hubs, de vecteurs et de créneaux synergiques au niveau des opérations et des productions ainsi que la création de nouveaux emplois correspondants.
Le but fondamental de cette nouvelle stratégie planifiée doit viser non pas seulement le développement de certains secteurs isolés de pointe mais de faciliter et réaliser un take-off réel de l’économie marocaine dans sa totalité.
Dans les lignes de l'actuel bref essai, le but reste d’ajouter et d’apporter aussi des clarifications surtout à la lumière des récents discours et interventions des pouvoirs publics sur la question de la régionalisation.
On est tous conscient que des avancées ont été accomplies au niveau de la transformation de l’économie marocaine, mais le chemin reste long à parcourir afin que le Maroc devienne un pays émergeant jouissant d’une assise économique nationale.
De ce fait, les politiques et programmes publics devraient être formulées et implémentées sur les pratiques participatives qui ne peuvent que servir d’orientation et de coordination de l’action collective facilitant une plus grande participation et le renforcement des alliances entre les collectivités et les acteurs. Cette forme de planification demeure un outil de représentation et d’ajustement des intérêts respectifs de tous les participants à la planification du développement économique en premier régional et par la suite national. La négociation entre les différents acteurs régionaux et nationaux devint une des déterminations de la définition et l’implémentation des actions nécessaires à la réussite d’une planification du développement.
Par rapport à tout cela, comment donc au Maroc, on peut instaurer une politique visant et nécessitant l’application d’une responsabilité d’équité sociale en matière d’allocation des ressources alors que l’on reste dans une situation d’attente du marché international pour stimuler la croissance économique nationale.
Au Maroc, la politique économique demeure localisée si ce n’est figée entre deux pôles d’attraction, une mondialisation selon les termes et les conditions contractuelles issus de la juxtaposition du libéralisme et de la globalisation et la volonté récemment affichée des pouvoirs publics de redorer le blason de la régionalisation.
Ces deux axes se basent sur un dénominateur commun dont l'ultime et non-déclaré objectif pour chacune d’entre elles demeure effectivement la poursuite et la réalisation d’une croissance économique soutenue qui est d’origine et d'extraction extravertie.
Pour renverser cette trajectoire, le Maroc doit implémenter un processus correctif qui serait basée sur la participation et le renforcement des alliances au sein des collectivités régionales et des entités économiques participatives afin d’assurer une représentation cohésive de leur intérêts respectifs dans la planification du développement du Maroc. Cette approche consultative et participative devrait permettre au Maroc d’acquérir et de renouveler des capacités de négociation face aux tenants du marché international, permettant ainsi aux tenants de la décision économique au Maroc de répondre directement aux besoins nationaux en premier et de mettre en place des structures favorable au renforcement de l’efficacité du processus décisionnel de l'Etat Marocain et au renforcement des acquis démocratiques. Aucune duplication ne devrait être programmée pour des régions ou des communes rurales considérées similaires. La diversité de l'approche doit produire une diversité des solutions avancées. Ces propositions ne devraient nullement privilégier la facilité de boucler la mise en place de stratégies "copie carbone". Une telle duplication se justifiant sur la similarité des contrées rurales demeurent un raccourci et une tentative de recyclage d'ancien problèmes hérités d'une approche coloniale tournée vers l'exploitation et non la consolidation des bases du développement économique national.
En somme, les études comme leurs conclusions et leurs propositions d'ajustement doivent être basées sur des évaluations ciblées et résultantes des particularités et des besoins comme des potentialités de chaque région prise a l’écart des autres au niveau des prescriptions de solutions et de l'allocation des ressources pour son redressement.
Actuellement le Maroc est mis en face de la nécessité d’intégrer dans le cadre national toutes les régions du Maroc afin de créer une entité économique nationale homogène, complémentaire a travers le renforcement si ce n'est l'invention et l'implantation de hubs, de vecteurs et de créneaux synergiques au niveau des opérations et des productions ainsi que la création de nouveaux emplois correspondants.
Le but fondamental de cette nouvelle stratégie planifiée doit viser non pas seulement le développement de certains secteurs isolés de pointe mais de faciliter et réaliser un take-off réel de l’économie marocaine dans sa totalité.
Dans les lignes de l'actuel bref essai, le but reste d’ajouter et d’apporter aussi des clarifications surtout à la lumière des récents discours et interventions des pouvoirs publics sur la question de la régionalisation.
On est tous conscient que des avancées ont été accomplies au niveau de la transformation de l’économie marocaine, mais le chemin reste long à parcourir afin que le Maroc devienne un pays émergeant jouissant d’une assise économique nationale.
De ce fait, les politiques et programmes publics devraient être formulées et implémentées sur les pratiques participatives qui ne peuvent que servir d’orientation et de coordination de l’action collective facilitant une plus grande participation et le renforcement des alliances entre les collectivités et les acteurs. Cette forme de planification demeure un outil de représentation et d’ajustement des intérêts respectifs de tous les participants à la planification du développement économique en premier régional et par la suite national. La négociation entre les différents acteurs régionaux et nationaux devint une des déterminations de la définition et l’implémentation des actions nécessaires à la réussite d’une planification du développement.
Par rapport à tout cela, comment donc au Maroc, on peut instaurer une politique visant et nécessitant l’application d’une responsabilité d’équité sociale en matière d’allocation des ressources alors que l’on reste dans une situation d’attente du marché international pour stimuler la croissance économique nationale.
Aroubi, Exode Rurale et Globalisation au Maroc
23/8/2017 - Aroubi: Campagnard - Aroubiya: Campagne
WA CHHAL MIN KHAIMA WALEDETE ALAM - CHANT POPULAIRE DES DOUKKALA
On les désigne par des Aroubis qui envahissent les villes, qui n'ont aucune Education et on les appelle les sauvages.
plus de réactions
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Sujet qui a déclenché ma Réponse ci-dessous:
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"L' exode rurale massive a fait des ravages dans la société Marocaine . On a affaire à des personnes qui ont vraiment perdu leur boussole"
- - - > Tout à fait
- - - > Ah ouiii je confirme ... L'une des principales causes des problèmes que vit notre socièté
- - - > Bien sûr, mais même ceux-là ont droit à une bonne éducation. Avez-vous vu les villages en France ?
- - - > Bien sûr que oui mais les villes Marocaines n' ont pas assimilé ce flux migratoire de la compagne
- - - > On avait besoin d'eux pour les usines et pour les élections et on les a laissés à leur sorts sans les urbaniser.
- - - > Exactement
- - - > Ana baada mabkitch haba laaroubia gahmouni hhhhh baraka
- - - > Il n ont pas perdu leur boussole il n'en ont jamais eu
- - - > L'exaude rural est un phénomène planétaire . Bonne soirée
- - - > Exactement .A vous aussi
- - - > Vous avez exactement touché le fond du problème.
l'ont ils jamais eues?? ??
- - - > Des vrais tarés sauvages lâches Ds lâ nature sans foi - - - > Ni loi et obsédés par dessus le marché... Ça fait peur
Exactement!!!
Ma réponse:
Said El Mansour Cherkaoui Lalla ......, Allah ya Hdik, les sauvages de hier comme ils étaient appelés par les colonialistes sont les technocrates et autres experts d'aujourd'hui
Les sauvages c'est plutôt ceux et celles qui détruisent nos propres fondations de la marocanité et dans les autres frères et voisins par leur sauvage interventions militaires et de consommation globalisée ainsi que la pollution multiple qui créent le cancer chez nos femmes.
7 Jeunes filles dans mon quartier natal a El Jadida dont plus que la moitie ne sont même pas encore dans l'age du mariage, un désastre et c'est la sauvagerie de la bouffe génétique et autre pollution importée.
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23/8/2017 - Aroubi: Campagnard - Aroubiya: Campagne
Moi, je suis un Aroubi de milliers d’années, un Doukkalais par ma Mère depuis le temps de Berghaouta, Sanhaja et Masmouda
Nous les Aroubis nous sommes des individus de Karam et de Rahate Bal et du partage du bien, si vous doutez de mes dires allez visiter le fin fond des Doukkala et vous allez vous rendre compte de toute cette simplicité naturelle de l’accueil et du partage sans fanfare mais a une condition, rangez dans un étui étanche vos prismes et vos lunettes et votre regard de citadin occidentalisé ou globalisé par la Bio-Technologie.
Mes salutations respectueuses au commentaire suivant: "On avait besoin d'eux pour les usines et pour les élections et on les a laissés à leur sorts sans les urbaniser."
J'ajouterais a cela que l'on a besoin des Aroubis et de l'exode rurale pour les intérêts suivants, a savoir:
++> pour le nombre de la population urbaine, pour attirer les capitaux étrangers directs et leur présenter et les séduire par le nombre la consommation potentielle,
++> pour les négociations des traités de libre-échange bidons pour faire pencher la balance vers la présentation des revenus et des termes de l’échange
++> pour l’aumône internationale afin que les organismes internationaux versent des donations et contributions financières pour la réhabilitation et l'insertion sociale qui n'a jamais pris place
++> pour le recensement de la population urbaine et les allocations budgétaires et les determinations des calculs de la loi des finances et afin de se faire bien voir par les organisations charitables et les banques internationales pour les aides financières directes et les allègements financiers octroyés
Les Aroubis au Maroc comme moi représentent 20 % du PIB, recèle 43 % des actifs, assure plus de 72 % des besoins en céréales, 87 % des besoins en lait et 100 % en viandes ou encore en fruits et légumes pour l'ensemble de l’économie et la population marocaine.
Les Aroubiyas occupent aussi plus que 90 % de la surface territoriale du Maroc, alors qu'ils se caractérisent par l’omniprésence de la faiblesse des infrastructures, enclavement, faible accès aux services de base, précarité, analphabétisme et pauvreté structurelle doublée d'une négligence administrative et d'une exploitation abusive par les représentants élus locaux et régionaux. Alors que la nouveau découpage administratif du Maroc a rendu les élus des communes et les parlementaires chapeaute de la même autorité abusive ces nouveaux nababs régionaux issus de politiciens issus des partis politiques urbains détachés de la réalité Aroubie [bonnet blanc Blanc Bonnet - Rozaya Baida - Baida Roza]. Ainsi, ces nouveaux intermédiaires du pouvoir enclavé jouissent de l’autorité sans qu'aucune autre structure hiérarchisée est en place pour vérifier et contrôler les abus de leur pouvoir dont la population rurale subit les méfaits sans avoir aucun recours ou alternative.
Ces discriminations et la non reconnaissance des droits aux citoyens des Aroubiyas additionnées aux faiblesses structurelles, a la pauvreté et aux périodes fréquentes des sécheresses conditionnent cette exode rurale qui profite aussi aux grands propriétaires terriens. Une exode rurale bénite pour l'oligarchie foncière qui accapare les terres et introduisent des cultures cash-crop avec des semences made by Monsanto-Bayer et autres Bio-tech producteurs de semences génétiquement modifiées. - OGM
En savoir plus sur Monsanto et en images, voir le contenu de ce lien:
http://snippits-and-slappits.blogspot.com/2013/06/alternative-saturday-cartoons-monsanto.html
Ces cultures intensives et sous serres et non vivrières, déséquilibrent et détruisent la balance biologique/naturel du sol et de l'environnement écologique et qui sont en grande partie destinées a l'exportation ou aux grandes surfaces de distribution alimentaire.
Dans la même perspective, les conditions de vie des Aroubis laissés pour compte et devenus plus vulnérables face a l'introduction des produits OGM et a la globalisation des flux commerciaux et d'approvisionnement en semences importées ayant des manipulations génétiques telles que celles produites par le récent mariage entre Monsanto et Bayer. De telles consolidations internationales affectent le petit cultivateur marocain et sapent ses propres bases primaires de l'accumulation de son profit initial et son potentiel d’épargne, le rendant une proie facile aux crédits banquiers menant a la faillite et donc a l'exode rurale.
La combinaison de l'impact de ces causes extérieures et des influences internes a rendu le petit cultivateur dans une position d’être entre l'enclume et le marteau, entre le socle et le bulldozer et le tracteur de sa défaillance rurale.
En 1956, on comptait que 70 % d'Aroubis Marocains vivaient dans nos campagnes alors que selon le dernier recensement de 2014, on a perdu plus que 30% d'un seul coup puisque moins de 40 % de la population marocaine, estimée à 33,84 millions d’habitants qui malgré toutes ces pressions internes et externes, demeurent fidèles a leur Aroubiya ou bien sont coincés dans les mémoires de nos ancêtres Aroubis.
De ce fait, mes semblables Aroubis représentent maintenant quelques 13,42 millions d’habitants.
Quel est donc l'autre catastrophe que l'on observe vu l'impact de cette globalisation que j'ai mentionné sur le devenir de nos Aroubiyas?
Eh bien nos campagnes souffrent aussi d'un mal plus rampant et plus insidieux et pas facile a contrer, puisque la Ville ronge la campagne par le profit qui est extrait des zones rurales sans pour autant en retour y investir dans un développement a la fois localisé et régionalisé selon la situation géographique de la région par rapport a la ville et aux ports maritimes et l'infrastructure ferroviaire ou routière.
L'absence de synchronisation d'une politique logistique accroît la difficulté pour la recherche de nouveaux débouchés et pour la création d'une synergie entre la production agricole et les marchés potentiels. Des lors, un déphasage s'instaure entre l'ajustement de la production agricole sur les demandes et les besoins des populations tant urbaines qu'internationales.
Pour cette raison, n développement généralisé tenant en compte tous ces impératifs et ces défis serait en premier un vecteur responsable et basé sur une régionalisation propre authentique dont l'Etat Central organise les responsabilités et distribue les compétences comme les allocations financières adéquates d'une façon directe et a travers un plan efficient au niveau régional que national. Une planification des ressources comme des objectifs dépassant celui qui est soutenu par les intérêts étrangers et par l’Élite marocaine a savoir la stratégie de développement durable et sa "soi-disante" Bonne Gouvernance d’obédience pseudo-libérale.
Une telle stratégie a sens unique aboutit a implanter des formes de clientélisme corporatiste, de la cooptation familiale politique réverbérant la notion de Bak Sahbi Wa Wassani alike qui fondamentalement favorise la création de l’héritage des atouts politiques élitistes et créent au sein des appareils de la decision de l'Etat et des structures représentatives des dynasties et des serviteurs de leurs propres intérêts identifiés dans ceux des groupes étrangers.
Dans une telle évolution forcée par la collision des intérêts exogènes avec les déviations endogènes, l'exode des Aroubie demeure une menace tant pour la ville que pour la campagne désenchantée puisque il en résulte une concurrence pour l'accaparement des produits agricoles entre les strates citadins, les exportateurs de produits alimentaires et ces nouvelles classes défavorisées qui vivent a la marge des villes pour en constituer des distributeurs un-officiel des produits alimentaires sous forme de Ferachas et de Souks improvisés au sein des quartiers populaires des villes marocaines.
Cette exode rurale a fragilisé les équilibres vivriers dans la mesure où l’accroissement considérable du nombre de consommateurs urbains ponctionne une part importante des forces vives de l’agriculture qui continue à assurer plus du tiers des emplois au Maroc.
Entre temps, nos campagnes et Doukkala sont envahies par les multinationales agro-bio-techno-robotique et génétique alimentaires, en savoir plus, voir le contenu ce lien:
http://madeinmazagan.weebly.com/doukka-cible-agro-alimentaire.html
LE MAROC ET LES NOUVELLES INVASIONS DES OMG
Cherkaoui Journal - صحيفة الشرقاوي
LE MAROC ET LES NOUVELLES INVASIONS DES OMG
Le Mariage de Monsanto et de Bayer et l'importation de leurs produits alimentaires, de semence et pharmaceutiques sous toutes le formes déforment nos Femmes, nos Fruits et nos Légumes et les Responsables Marocains, comment ils réagissent a ces fléaux?
Je veux parler ici des fruits et légumes OMG, Organismes Génétiquement Modifiés, ca c'est les plus dangereux, rien dans une rue de mon quartier, actuellement on 7 à 8 jeunes filles mariées avec enfants et célibataires qui ont le cancer, du jamais vu dans nos quartiers et cela a El Jadida, Doukkala la région du Maroc ou tous les fruits et les légumes avaient jusqu'à tout récemment les meilleurs goûts. Je parles ici du seul quartier ou je suis né, alors que ce fléau du cancer sur toute la ville d'El Jadida, la région de Doukkala et le reste du Maroc, cela doit frôler le niveau de catastrophe nationale.
http://madeinmazagan.weebly.com/doukka-cible-agro-alimentaire.html
Le cancer et sa liaison avec la nutrition est un phénomène nouveau dans notre réalité marocaine et le Maroc n'est point près au niveau de la détection, du dépistage ou la prévention, ni du traitement directe. En fait, l'un des sujets quotidiens des femmes du peuple, c'est le cancer, on y tient une discussion même durant les fêtes de mariages de femme, tellement c'est devenu une obsession nationale nouvelle dans ses formes comme dans ses expressions. On craint que la nouvelle mariée ne soit porteuse de cancer, c'est ce qui ressort de la tenue d'une telle conversation en ces lieux et circonstances.
LE MAROC ET LES NOUVELLES INVASIONS DES OMG
Le Mariage de Monsanto et de Bayer et l'importation de leurs produits alimentaires, de semence et pharmaceutiques sous toutes le formes déforment nos Femmes, nos Fruits et nos Légumes et les Responsables Marocains, comment ils réagissent a ces fléaux?
Je veux parler ici des fruits et légumes OMG, Organismes Génétiquement Modifiés, ca c'est les plus dangereux, rien dans une rue de mon quartier, actuellement on 7 à 8 jeunes filles mariées avec enfants et célibataires qui ont le cancer, du jamais vu dans nos quartiers et cela a El Jadida, Doukkala la région du Maroc ou tous les fruits et les légumes avaient jusqu'à tout récemment les meilleurs goûts. Je parles ici du seul quartier ou je suis né, alors que ce fléau du cancer sur toute la ville d'El Jadida, la région de Doukkala et le reste du Maroc, cela doit frôler le niveau de catastrophe nationale.
http://madeinmazagan.weebly.com/doukka-cible-agro-alimentaire.html
Le cancer et sa liaison avec la nutrition est un phénomène nouveau dans notre réalité marocaine et le Maroc n'est point près au niveau de la détection, du dépistage ou la prévention, ni du traitement directe. En fait, l'un des sujets quotidiens des femmes du peuple, c'est le cancer, on y tient une discussion même durant les fêtes de mariages de femme, tellement c'est devenu une obsession nationale nouvelle dans ses formes comme dans ses expressions. On craint que la nouvelle mariée ne soit porteuse de cancer, c'est ce qui ressort de la tenue d'une telle conversation en ces lieux et circonstances.
Dans la même perspective, voir mon article que j'avais rédigé comme une sonnette d'alarme et cela avant de connaître le sort de ces pauvres femmes qui doivent payer presque 1000 dollars pour chaque session de chimiothérapie sans parler de leur sort qui est considéré par le reste des masses populaires démunies comme "maudite" et ces femmes affectées par le cancer seront ainsi marginalisées avec peu de chance de fonder une famille un jour.
A tel point que plusieurs d'entres elles, ne parlent pas de ce qui leur fait mal et ne partagent donc pas entre elles leurs expériences et les moyens de lutter contre, rendant ainsi l'information et la connaissance des effets du cancer une tare a enterrer et ne pas en souligner les causes ou les effets néfastes, ni les remèdes possibles.
Le contenu de mon article malheureusement se vérifie avec avec l'expansion sociale de ce fléau de cancer dans ma ville natale et dans mon propre quartier de naissance et que je viens d'apprendre directement d'un de mes proches:
Le Mariage de Monsanto et de Bayer et l'importation de leurs produits alimentaires, de semence et pharmaceutiques sous toutes le formes déforment nos Femmes, nos Fruits et nos Légumes et les Responsables Marocains, comment ils réagissent a ces fléaux?
A tel point que plusieurs d'entres elles, ne parlent pas de ce qui leur fait mal et ne partagent donc pas entre elles leurs expériences et les moyens de lutter contre, rendant ainsi l'information et la connaissance des effets du cancer une tare a enterrer et ne pas en souligner les causes ou les effets néfastes, ni les remèdes possibles.
Le contenu de mon article malheureusement se vérifie avec avec l'expansion sociale de ce fléau de cancer dans ma ville natale et dans mon propre quartier de naissance et que je viens d'apprendre directement d'un de mes proches:
Le Mariage de Monsanto et de Bayer et l'importation de leurs produits alimentaires, de semence et pharmaceutiques sous toutes le formes déforment nos Femmes, nos Fruits et nos Légumes et les Responsables Marocains, comment ils réagissent a ces fléaux?
Et quelle est l'alternative, si tous les fruits et légumes contiennent des OMG, que manger à la place, surtout que les produits bio ne courent pas les rues dans nos villes?
Cherkaoui Journal - صحيفة الشرقاوي
Une solution qui est a la portée et pas coûteuse mais qui demande juste l'attention continue:
Planter tes propres légumes et fruit pour commencer,
Organiser des communautés et avoir un lopin de terre a utiliser comme des lieux de plantation des produits bio.
Il y a toute une série d'alternatives qui peuvent donner aux citoyens conscients de ces dangers une possibilité de mobilisation et de creation d'avenues et de méthodes de contrecarrer ces invasions de produits chimiques.
Organiser des campagnes de dénonciation et de sensibilisation des masses populaires.
Faire en sorte que les magasins et les producteurs écoutent de telles oppositions et faire en sorte que l'on achète plus ces produits qui font mal et qui rendent malades les populations les plus vulnérables.
Exiger des étiquetages avec ce que contient le produit comme éléments artificiels et OGM et ainsi de suite.
Lancer des campagnes périodiques de boycott doublée d'une dénonciation des produits ayant des ingrédients et des origines OMG et artificielles et démontrer leur impact néfaste
Tout un programme de pression sur tout ceux qui importent, distribuent et vendent ces produits, y compris le petit épicier du coin comme le le grand distributeur de la périphérie.
Tout cela n'est pas facile et n'est pas a la portée de l'individu mais il faut se décider, vous voulez rester des lapins et des rats comme cobayes dans les laboratoires ou vous voulez vivre une vie digne de citoyen souverain.
Le renforcement des bases de la démocratie commencent et se limitent a la construction de riposte sociale a tout abus et je crois la bouffe est ce qui rassemble tout le monde et cela sans étiquette politique, idéologique ou même institutionnelle.
La bouffe, c'est la base de la communauté, c'est le lien par lequel l’émotion se partage et c'est le lieu de l'expression de la sante humaine.
Alors que nos Responsables et nos Gouvernements des Partis Politiques continuent a vous chanter de fautes sérénades et vous ment en plein visage qui les rend comme cette caricature que je vous mets ici-bas:
Cherkaoui Journal - صحيفة الشرقاوي
Une solution qui est a la portée et pas coûteuse mais qui demande juste l'attention continue:
Planter tes propres légumes et fruit pour commencer,
Organiser des communautés et avoir un lopin de terre a utiliser comme des lieux de plantation des produits bio.
Il y a toute une série d'alternatives qui peuvent donner aux citoyens conscients de ces dangers une possibilité de mobilisation et de creation d'avenues et de méthodes de contrecarrer ces invasions de produits chimiques.
Organiser des campagnes de dénonciation et de sensibilisation des masses populaires.
Faire en sorte que les magasins et les producteurs écoutent de telles oppositions et faire en sorte que l'on achète plus ces produits qui font mal et qui rendent malades les populations les plus vulnérables.
Exiger des étiquetages avec ce que contient le produit comme éléments artificiels et OGM et ainsi de suite.
Lancer des campagnes périodiques de boycott doublée d'une dénonciation des produits ayant des ingrédients et des origines OMG et artificielles et démontrer leur impact néfaste
Tout un programme de pression sur tout ceux qui importent, distribuent et vendent ces produits, y compris le petit épicier du coin comme le le grand distributeur de la périphérie.
Tout cela n'est pas facile et n'est pas a la portée de l'individu mais il faut se décider, vous voulez rester des lapins et des rats comme cobayes dans les laboratoires ou vous voulez vivre une vie digne de citoyen souverain.
Le renforcement des bases de la démocratie commencent et se limitent a la construction de riposte sociale a tout abus et je crois la bouffe est ce qui rassemble tout le monde et cela sans étiquette politique, idéologique ou même institutionnelle.
La bouffe, c'est la base de la communauté, c'est le lien par lequel l’émotion se partage et c'est le lieu de l'expression de la sante humaine.
Alors que nos Responsables et nos Gouvernements des Partis Politiques continuent a vous chanter de fautes sérénades et vous ment en plein visage qui les rend comme cette caricature que je vous mets ici-bas:
LES DEUX PILIERS DU SUBCAPITALISME:
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LOGIQUE DU
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Dette Extérieure au Maroc: Titanique et Insoutenable
Si ça flotte tant mieux parce que le Maroc est noyé dans la dette extérieure depuis 1830 et 1840 et patauge dedans jusqu'au cou.
Plus récemment voilà la trajectoire de la dette publique:
Le rapport annuel de la Banque centrale marocaine, Bank al-Maghrib (BAM), publié fin juillet 2015 souligne la continuelle élévation de la dette publique qui a la fin de l'année de 2014, le niveau atteint représentait 741 milliards de DH (environ 74 milliards d’euros) soit l'équivalent de 81 % du PIB marocain.
Beit Mal au Maroc s'endette de plus en plus auprès des financiers privés, à savoir le marché des capitaux à long terme. En effet, les financiers internationaux représentent désormais 25 % de l’encours de la dette extérieure marocaine, alors qu’ils ne représentaient que 11 % en 2010.
Il s'agit ici dune escalade vertigineuse de l'endettement extérieur du Maroc et la dégradation du climat intérieur des affaires. Alors ce qui se passe au Rif et dans les autres régions, ce n'est pas le fruit du hasard, ou des accidents de l'Histoire ou comme ils le prétendent c'est de la manipulation et l'ingérence de soit-disant "ennemis" extérieur. Tout cela c'est bidon et voila l'une des raisons fondamentales de nos problèmes structuraux comme une économie subcapitaliste:
"Le gouvernement continue à impressionner par sa capacité à battre des records. La dernière réalisation a été annoncée par le ministère de l’économie et des finances.
Selon les données de la direction du trésor et des fiances extérieures (DTFE), le stock de la dette extérieure publique (l’encours) à fin juin 2014 s’est établi à 262,3 milliards de DH (contre 234,7 milliards de DH à fin 2013), soit l’équivalent de 30 milliards de dollars américains. En d’autres termes, la dette extérieure a augmenté en 6 mois de 27,5 milliards de DH, soit plus de 3 milliards de dollars, (17,7 milliards de DH pour les Entreprises et Établissements Publics (EEP) et 9,8 milliards de DH pour le Trésor).
Maroc: en l’espace d’une année, le nombre d’entreprises en faillite a augmenté de 15%
Le gouvernement, qui a l’obligation de publier ces chiffres conformément aux engagements pris pour adhérer à la Norme Spéciale de la Diffusion des Données (NSDD) du FMI, ne les a publiés qu’en monnaie nationale (Dirhams).
La dette extérieure du trésor représente 53,2 % du total, alors que la dette extérieure des EEP représente 46,4 %, le reliquat, soit 0,4 %, revient aux banques et aux collectivités locales.
46,6 % de la dette extérieure du Maroc est contracté auprès des organismes de financement multilatéraux (groupe Banque Mondiale, Banque Africaine de développement, BEI, Fonds Arabes, Banque Islamique, etc.), 29,1 % provient de la coopération bilatérale avec les Etats, non compris les dons qui ne sont pas remboursables, et 25,3 % constitué de dette privée due aux banques.
Ce sont donc 262 milliards de DH de dette extérieure qui s’ajoutent à celle intérieure, (422,4 milliards de DH à fin août 2014 selon la TGR), portant ainsi l’endettement global du pays à plus de 63 % du PIB." Fin de citation
Source: Plusieurs sources furent consultées pour l'introduction y compris la suivante qui est pour la citation précédente:
http://www.businessbourse.com/2016/05/09/la-dette-exterieure-du-maroc-a-atteint-le-record-de-30-milliards-de-dollars/
ON PARLE DU RIF ET ON OUBLIE CES FEMMES
On construit des Parc Industriel et Technologique et une infrastructure modale de transport et des Zones Franches de Melloussa Et Midparc Medz Tanger a Ameur Seflia, Kénitra Province et casablanca technopark pour l’attractivité des Entreprises Robotiques, Renault-Nissan, Acome, Boeing, Bombardier, Peugeot PSA, Asahi Induver et autres fer de lance de la compétitivité internationale et on laisse nos Femmes et Mères Marocaines se suer le dos sur les pentes de notre dignité perdue.
POURQUOI LES RESPONSABLES MAROCAINS N'ORGANISENT PAS LA LOGISTIQUE DE TRANSPORT DE CE COMMERCE QUI SE TROUVE SUR LE PALIER DE LA PORTE D’ENTRÉE ALORS QUE LE MAROC EST BIEN CAPABLE D'ALLER AILLEURS ET TRÈS LOIN SIGNER DES ACCORDS DE LIBRE-ECHANGE COMMERCIA
Plus récemment voilà la trajectoire de la dette publique:
Le rapport annuel de la Banque centrale marocaine, Bank al-Maghrib (BAM), publié fin juillet 2015 souligne la continuelle élévation de la dette publique qui a la fin de l'année de 2014, le niveau atteint représentait 741 milliards de DH (environ 74 milliards d’euros) soit l'équivalent de 81 % du PIB marocain.
Beit Mal au Maroc s'endette de plus en plus auprès des financiers privés, à savoir le marché des capitaux à long terme. En effet, les financiers internationaux représentent désormais 25 % de l’encours de la dette extérieure marocaine, alors qu’ils ne représentaient que 11 % en 2010.
Il s'agit ici dune escalade vertigineuse de l'endettement extérieur du Maroc et la dégradation du climat intérieur des affaires. Alors ce qui se passe au Rif et dans les autres régions, ce n'est pas le fruit du hasard, ou des accidents de l'Histoire ou comme ils le prétendent c'est de la manipulation et l'ingérence de soit-disant "ennemis" extérieur. Tout cela c'est bidon et voila l'une des raisons fondamentales de nos problèmes structuraux comme une économie subcapitaliste:
"Le gouvernement continue à impressionner par sa capacité à battre des records. La dernière réalisation a été annoncée par le ministère de l’économie et des finances.
Selon les données de la direction du trésor et des fiances extérieures (DTFE), le stock de la dette extérieure publique (l’encours) à fin juin 2014 s’est établi à 262,3 milliards de DH (contre 234,7 milliards de DH à fin 2013), soit l’équivalent de 30 milliards de dollars américains. En d’autres termes, la dette extérieure a augmenté en 6 mois de 27,5 milliards de DH, soit plus de 3 milliards de dollars, (17,7 milliards de DH pour les Entreprises et Établissements Publics (EEP) et 9,8 milliards de DH pour le Trésor).
Maroc: en l’espace d’une année, le nombre d’entreprises en faillite a augmenté de 15%
Le gouvernement, qui a l’obligation de publier ces chiffres conformément aux engagements pris pour adhérer à la Norme Spéciale de la Diffusion des Données (NSDD) du FMI, ne les a publiés qu’en monnaie nationale (Dirhams).
La dette extérieure du trésor représente 53,2 % du total, alors que la dette extérieure des EEP représente 46,4 %, le reliquat, soit 0,4 %, revient aux banques et aux collectivités locales.
46,6 % de la dette extérieure du Maroc est contracté auprès des organismes de financement multilatéraux (groupe Banque Mondiale, Banque Africaine de développement, BEI, Fonds Arabes, Banque Islamique, etc.), 29,1 % provient de la coopération bilatérale avec les Etats, non compris les dons qui ne sont pas remboursables, et 25,3 % constitué de dette privée due aux banques.
Ce sont donc 262 milliards de DH de dette extérieure qui s’ajoutent à celle intérieure, (422,4 milliards de DH à fin août 2014 selon la TGR), portant ainsi l’endettement global du pays à plus de 63 % du PIB." Fin de citation
Source: Plusieurs sources furent consultées pour l'introduction y compris la suivante qui est pour la citation précédente:
http://www.businessbourse.com/2016/05/09/la-dette-exterieure-du-maroc-a-atteint-le-record-de-30-milliards-de-dollars/
ON PARLE DU RIF ET ON OUBLIE CES FEMMES
On construit des Parc Industriel et Technologique et une infrastructure modale de transport et des Zones Franches de Melloussa Et Midparc Medz Tanger a Ameur Seflia, Kénitra Province et casablanca technopark pour l’attractivité des Entreprises Robotiques, Renault-Nissan, Acome, Boeing, Bombardier, Peugeot PSA, Asahi Induver et autres fer de lance de la compétitivité internationale et on laisse nos Femmes et Mères Marocaines se suer le dos sur les pentes de notre dignité perdue.
POURQUOI LES RESPONSABLES MAROCAINS N'ORGANISENT PAS LA LOGISTIQUE DE TRANSPORT DE CE COMMERCE QUI SE TROUVE SUR LE PALIER DE LA PORTE D’ENTRÉE ALORS QUE LE MAROC EST BIEN CAPABLE D'ALLER AILLEURS ET TRÈS LOIN SIGNER DES ACCORDS DE LIBRE-ECHANGE COMMERCIA
Effervescence des Accords de Libre-Échange et le Développement Subcapitaliste Régional au Maroc
"Un déficit commercial structurel mais dont l’accentuation est intimement liée à la libéralisation des échanges dans le cadre des accords de libre échange. Prés de 37% du déficit commercial enregistré par le Maroc en 2010 est attribuable aux accords de libre échange. Une ouverture commerciale alimentant une forte accélération des importations, avec comme conséquence une aggravation significative du déficit commercial. Ce déficit, qui était de près de 43,7 milliards dirhams en 2000, a été multiplié par quatre pour atteindre 183 milliards dirhams en 2011. Hors importations d’énergie et exportations du groupe OCP, ce déficit est passé de 35 milliards en 2000 à 141 milliards en 2011."
Source: http://goo.gl/rH6EEZ
Antagonisme Régional et Polarisation de la Croissance Economique du Maroc:
"Les exportateurs des pays industriels profitent des accords de libre- échange pour ouvrir les frontières et envahir le marché local marocain avec des produits subventionnés tout en bafouant les normes sanitaires et environnementales déjà mal définies. En même temps ils réussissent à maintenir des barrières non tarifaires pour protéger leurs marchés intérieurs. Les accords de libre-échange fragilisent alors le tissu productif local par le dumping sans pour autant améliorer l’accessibilité des produits marocains aux marchés extérieurs.
Les exportations dans le cadre des accords de libre-échange constituent 35% des exportations du Maroc vers l’Union européenne en 2013. En revanche, 50% des importations du Maroc de l’UE entrent dans le cadre de l’accord de libre-échange avec cette région."
- Les pays signataires avec le Maroc peuvent recourir aussi a des décisions administratives pour réduire la concurrence ou blêmir l'image des produits marocains agricoles importées comme ils peuvent imposer leurs propres termes d'acceptation de la qualité des produits.
Source: http://goo.gl/BlwBfG
"Les exportateurs des pays industriels profitent des accords de libre- échange pour ouvrir les frontières et envahir le marché local marocain avec des produits subventionnés tout en bafouant les normes sanitaires et environnementales déjà mal définies. En même temps ils réussissent à maintenir des barrières non tarifaires pour protéger leurs marchés intérieurs. Les accords de libre-échange fragilisent alors le tissu productif local par le dumping sans pour autant améliorer l’accessibilité des produits marocains aux marchés extérieurs.
Les exportations dans le cadre des accords de libre-échange constituent 35% des exportations du Maroc vers l’Union européenne en 2013. En revanche, 50% des importations du Maroc de l’UE entrent dans le cadre de l’accord de libre-échange avec cette région."
- Les pays signataires avec le Maroc peuvent recourir aussi a des décisions administratives pour réduire la concurrence ou blêmir l'image des produits marocains agricoles importées comme ils peuvent imposer leurs propres termes d'acceptation de la qualité des produits.
Source: http://goo.gl/BlwBfG
Dans tout ce panorama global des accords commerciaux signés avec toute une pléiade de pays, il demeure qu'une seule exception d’excédent commercial fut enregistré a travers les échanges avec la Jordanie, Tout le reste apporte un fardeau supplémentaire aux déficits de la Balance Commerciale du Maroc. Une réalité de crise si battante que même tous les indicateurs et les observations émanant même des organes et instituts officiels ne pouvaient ignorer dans leurs constats de la dégradation généralisée des de la balance commerciale, des comptes courants et ceux de la balance des paiements.
Dans tout ce panorama global des accords commerciaux signés avec toute une pléiade de pays, il demeure qu'une seule exception d’excédent commercial fut enregistré a travers les échanges avec la Jordanie, Tout le reste apporte un fardeau supplémentaire aux déficits de la Balance Commerciale du Maroc. Une réalité de crise si battante que même tous les indicateurs et les observations émanant même des organes et instituts officiels ne pouvaient ignorer dans leurs constats de la dégradation généralisée des de la balance commerciale, des comptes courants et ceux de la balance des paiements.
"Depuis 1996, le Maroc a signé des accords de libre-échange avec 56 pays :
En 2000, un accord d’association fut signé avec les pays membres de l’Union Européenne et de l’Association Européenne de Libre-Echange. L'accord avec l'Union européenne assure un démantèlement tarifaire complet d’ici 2012.
En mars 2004, La Maroc a également conclu des ALE avec la Tunisie, l’Égypte, la Jordanie (ces quatre pays sont signataires de la Déclaration d’Agadir), Continuant sur sa lancée libérale internationale, le Maroc cette fois-ci en signant avec 18 pays de la Ligue Arabe dans le cadre de l’accord de la grande zone arabe de libre-échange (en 1998), avec chacun des pays de l’accord d’Agadir (Tunisie, Egypte et Jordanie) en 1999, puis dans le cadre de l’accord d’Agadir (en 2007) et les Emirats arabes unis (en 2003). Le Maroc est membre de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et la Grande Zone Arabe de Libre-Echange (GAFTA).
Le Maroc signe un Accord de Libre-Echange avec les États-Unis qui est entré en vigueur le 1er janvier 2006 et qui fut suivi par celui avec la Turquie durant la même année.
Le Maroc a entamé les négociations sur l’accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA) avec l’UE. Les négociations ont débutées en avril 2013 et en sont déjà au 4ème round (avril et juin 2013, janvier et avril 2014). Le pays a également mené trois cycles de négociations (octobre 2011, mars 2012 et juin 2012) pour un accord de libre-échange avec le Canada. Il aussi est engagé dans des discussions avec le Chili pour un futur accord de libre-échange."
Source: http://goo.gl/BlwBfG
LE MAROC ET L'AFRIQUE
Le Maroc poursuit par ailleurs sa stratégie d’ouverture, en développant ses relations commerciales avec des regroupements régionaux en Afrique : il a signé un accord commercial et d’investissement avec l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) et la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC).
Le Maroc, jouissant déjà d’un statut d’observateur adhère en principe a la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l'Ouest - CEDEAO [ECOWAS]
Sur instructions du Roi Mohammed VI, le Maroc a informé Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia et présidente en exercice de la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l'Ouest (CEDEAO), de sa volonté d'adhérer à cet ensemble régional en tant que membre à part entière.
Le Maroc, jouissant déjà d’un statut d’observateur adhère en principe a la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l'Ouest - CEDEAO [ECOWAS]
Sur instructions du Roi Mohammed VI, le Maroc a informé Ellen Johnson Sirleaf, présidente du Liberia et présidente en exercice de la Communauté Economique des Etats d’Afrique de l'Ouest (CEDEAO), de sa volonté d'adhérer à cet ensemble régional en tant que membre à part entière.
Auparavant le Maroc était observateur au sein de l’organisation. Ce qui ne l’a pas empêché de prendre une part active dans les opérations de règlement des conflits et de maintien de la paix dont la CEDEAO a fait l’un de ses objectifs. On précise aussi que les relations avec les pays membres de la CEDEAO se sont renforcées lors des 23 visites royales effectuées récemment dans 11 pays de la région et qui ont débouché sur des accords qui ont boosté la coopération avec les 15 pays membres de l’organisation.
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CÉDÉAO) est une organisation intergouvernementale ouest-africaine créée le 28 mai 1975. C'est la principale structure destinée à coordonner les actions des pays de l’Afrique de l'Ouest. Son but principal est de promouvoir la coopération et l'intégration avec pour objectif de créer une union économique et monétaire ouest-africaine. En 1990, son pouvoir est étendu au maintien de la stabilité régionale avec la création de l'ECOMOG, groupe militaire d’intervention qui devient permanent en 1999. La CÉDÉAO compte aujourd'hui 15 États membres. En 2013, le PIB global des États membres de la CÉDÉAO s'élève à 674,34 milliards de dollars US ce qui en fait la 20eme puissance économique du monde.
Said El Mansour Cherkaoui 8 /6/ 17
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CÉDÉAO) est une organisation intergouvernementale ouest-africaine créée le 28 mai 1975. C'est la principale structure destinée à coordonner les actions des pays de l’Afrique de l'Ouest. Son but principal est de promouvoir la coopération et l'intégration avec pour objectif de créer une union économique et monétaire ouest-africaine. En 1990, son pouvoir est étendu au maintien de la stabilité régionale avec la création de l'ECOMOG, groupe militaire d’intervention qui devient permanent en 1999. La CÉDÉAO compte aujourd'hui 15 États membres. En 2013, le PIB global des États membres de la CÉDÉAO s'élève à 674,34 milliards de dollars US ce qui en fait la 20eme puissance économique du monde.
Said El Mansour Cherkaoui 8 /6/ 17
"Le Canada et le Maroc sont actuellement engagés dans des négociations en vue de conclure un accord de libre-échange.
Les activités commerciales du Canada au Maroc sont diversifiées et sont axées non seulement sur l’exportation de marchandises et les actifs miniers, mais aussi sur l’établissement de nombreux partenariats avec des établissements d’enseignement, la mise en place de franchises et la réalisation d’autres activités dans le cadre des chaînes de valeur mondiales.
Le Maroc présente des débouchés commerciaux dignes d’intérêt pour le Canada dans les secteurs de l’infrastructure, de l’agriculture et des aliments transformés, de l’aérospatiale, et de l’éducation. Le Canada et le Maroc sont actuellement engagés dans des négociations en vue de conclure un accord de libre-échange.
En 2014, notre commerce bilatéral était presque de 707,9 millions de dollars CAD. Les principaux moteurs de l’économie marocaine sont l’agriculture, le tourisme, et les mines (phosphates). Une industrie manufacturière de pointe (aérospatiale, automobile) est aussi en émergence.
Le Maroc était le 56e partenaire commercial bilatéral du Canada en 2014. Le Maroc fait partie des pays prioritaires identifiés dans le Plan d’action des marchés mondiaux du Canada et dans la Stratégie canadienne en matière d’éducation internationale.
Juin 2015
Ambassade du Canada au Maroc et en Mauritanie
Source: http://goo.gl/pV9Vg6
Relations commerciales
En 2012, les échanges bilatéraux de marchandises se sont élevés à 522,6 millions de dollars. Les exportations canadiennes vers le Maroc se sont élevées à 368,5 millions de dollars en 2012.
Les principales exportations du Canada au Maroc en 2012 ont consisté de blé (principalement de blé dur pour 57,1% des exportations canadiennes au Maroc) ainsi que de combustibles minéraux. Les importations canadiennes en provenance du Maroc ont totalisé 154,1 millions de dollars en 2012. Les principales importations ont consisté de fruits comestibles (principalement d'agrumes), de produits minéraux (principalement de spath fluor et de phosphate de calcium), de vêtements tissés et d'engrais.
Avantages pour les Canadiens
Un ALE avec le Maroc pourrait améliorer les relations bilatérales de commerce et d’investissement entre nos pays et favoriser les objectifs de politique étrangère du Canada dans la région. Cet ALE avec le Maroc serait le premier accord du genre à être signé entre le Canada et un pays d’Afrique, et le Maroc pourrait être une porte d’entrée vers une nouvelle présence commerciale canadienne dans la région de la Méditerranée et en Afrique du Nord. Il placerait également les entreprises canadiennes dans une position plus favorable par rapport à leurs concurrents sur ce marché, et particulièrement ceux qui bénéficient d’un arrangement de commerce préférentiel avec le Maroc.
NégociationsEn octobre 2009, le gouvernement du Canada a entamé des consultations publiques avec les provinces et les territoires canadiens, les entreprises, les organisations non-gouvernementales et le grand public pour prendre connaissance de leurs avis à titre de contribution à la définition de la portée de possibles négociations en vue d’un accord de libre-échange avec le Maroc.
Par ailleurs, des fonctionnaires des deux pays ont pris part à des discussions exploratoires en janvier 2009 à Rabat et en juin 2009 à Ottawa.
L’analyse économique, les discussions exploratoires de gouvernement à gouvernement ainsi que les consultations publiques avec les parties intéressées au Canada ont mis en évidence un vaste appui en faveur d’un accord de libre-échange Canada-Maroc et suffisamment de bénéfices potentiels pour recommander d’aller de l’avant vers la négociation d’un accord de libre-échange global.
Le 27 janvier 2011, le Premier ministre Stephen Harper et le premier ministre du Maroc, Abbas El Fassi, ont annoncé que les deux pays entameront des négociations en vue d’un accord de libre-échange.
Le Canada et le Maroc ont conclu un troisième cycle de négociation qui s’est tenu du 18 au 22 juin 2012 à Ottawa (consultez le communiqué intitulé :
Le Canada salue la première ronde de négociations de libre-échange avec le Maroc).
Un premier cycle avait eu lieu en octobre 2011, suivi d’un deuxième cycle en mars 2012. Des progrès ont été réalisés par rapport à tous les aspects abordés dans le cadre de ces négociations, et notamment dans les domaines relatifs aux procédures douanières, aux mesures sanitaires et phytosanitaires et aux marchés publics. Les négociateurs sont en discussion pour planifier les prochaines étapes.
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En 2012, les échanges bilatéraux de marchandises se sont élevés à 522,6 millions de dollars. Les exportations canadiennes vers le Maroc se sont élevées à 368,5 millions de dollars en 2012.
Les principales exportations du Canada au Maroc en 2012 ont consisté de blé (principalement de blé dur pour 57,1% des exportations canadiennes au Maroc) ainsi que de combustibles minéraux. Les importations canadiennes en provenance du Maroc ont totalisé 154,1 millions de dollars en 2012. Les principales importations ont consisté de fruits comestibles (principalement d'agrumes), de produits minéraux (principalement de spath fluor et de phosphate de calcium), de vêtements tissés et d'engrais.
Avantages pour les Canadiens
Un ALE avec le Maroc pourrait améliorer les relations bilatérales de commerce et d’investissement entre nos pays et favoriser les objectifs de politique étrangère du Canada dans la région. Cet ALE avec le Maroc serait le premier accord du genre à être signé entre le Canada et un pays d’Afrique, et le Maroc pourrait être une porte d’entrée vers une nouvelle présence commerciale canadienne dans la région de la Méditerranée et en Afrique du Nord. Il placerait également les entreprises canadiennes dans une position plus favorable par rapport à leurs concurrents sur ce marché, et particulièrement ceux qui bénéficient d’un arrangement de commerce préférentiel avec le Maroc.
NégociationsEn octobre 2009, le gouvernement du Canada a entamé des consultations publiques avec les provinces et les territoires canadiens, les entreprises, les organisations non-gouvernementales et le grand public pour prendre connaissance de leurs avis à titre de contribution à la définition de la portée de possibles négociations en vue d’un accord de libre-échange avec le Maroc.
Par ailleurs, des fonctionnaires des deux pays ont pris part à des discussions exploratoires en janvier 2009 à Rabat et en juin 2009 à Ottawa.
L’analyse économique, les discussions exploratoires de gouvernement à gouvernement ainsi que les consultations publiques avec les parties intéressées au Canada ont mis en évidence un vaste appui en faveur d’un accord de libre-échange Canada-Maroc et suffisamment de bénéfices potentiels pour recommander d’aller de l’avant vers la négociation d’un accord de libre-échange global.
Le 27 janvier 2011, le Premier ministre Stephen Harper et le premier ministre du Maroc, Abbas El Fassi, ont annoncé que les deux pays entameront des négociations en vue d’un accord de libre-échange.
Le Canada et le Maroc ont conclu un troisième cycle de négociation qui s’est tenu du 18 au 22 juin 2012 à Ottawa (consultez le communiqué intitulé :
Le Canada salue la première ronde de négociations de libre-échange avec le Maroc).
Un premier cycle avait eu lieu en octobre 2011, suivi d’un deuxième cycle en mars 2012. Des progrès ont été réalisés par rapport à tous les aspects abordés dans le cadre de ces négociations, et notamment dans les domaines relatifs aux procédures douanières, aux mesures sanitaires et phytosanitaires et aux marchés publics. Les négociateurs sont en discussion pour planifier les prochaines étapes.
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Au fait même pour le prochain traité de libre-échange avec le Canada, après celui des Etats-Unis, n’échappe pas a ces amères constats :
«Si le Maroc signe cet accord, c’est d’abord pour courtiser les investisseurs étrangers», affirme Jawad El Kerdoudi, président de l’Institut Marocain des Relations Internationales.
En deçà de tout cela, le Canada dans sa présentation du Maroc comme partenaire ne fait nullement mention de leur contribution dans l'implantation d'usines canadiennes ou le transfert de technologie ou du Savoir-Faire (know-how) qui pourrait contribuer directement dans un réel développement de l’économie marocaine.
Dans le Maroc actuel existe un paradoxal environnement ou les équilibres externes, y compris les comptes courants sont continuellement maintenus dans une position de faiblesse et de dépendance a l’égard des aléas de la conjoncture internationale, je me pose et je vous pose ces questions:
Comment le Gouvernement Marocain actuel issu des partis politiques, ayant un mandat limité dans le temps comme dans la représentation parlementaire, peut entreprendre une stratégie de la régionalisation et cela sans planification rationaliste et participative.
Seule la croissance économique, et non un développement ayant des réalisations nationales dépassant les considérations partisanes, peut être l'objectif d'un gouvernement agissant dans un cadre régi par des échéances électorales et et des considérations purement politiciennes.
La région en tant que espace économique ne doit nullement devenir une enclave introvertie mais une structure productive intégrée dans une perspective locale, régionale, nationale et internationale. Toutes les affinités et les particularités de chaque région sont ainsi mis en valeur avec de moyens de fructification et d’enrichissement. Cette approche doit donner la priorité a la Valeur Ajoutée de ces régions dans le processus de réhabilitation des régions intérieures du Maroc. Ces régions demeurent dégarnies par une faiblesse des allocations budgétaire vu leur niveau de contribution fiscale doivent être réévaluées en fonction et a l’échelle des autres autres régions limitrophes et celles au delà des frontières nationales.
En effet, une revalorisation des ressources locales et régionale est a entreprendre par la mise en place de paramètres de désignation et d'attribution des normes de qualité nationale et internationale. En cela, le Maroc ne peut plus s'orienter vers une régionalisation strictement régionaliste néo-coloniale et subcapitaliste mais a travers une politique d’intégration multiforme et multidimensionnelle y compris au niveau de toute la Méditerranée Septentrionale, l'Afrique Maghrébine et Subsaharienne.
Face à ces handicaps structurels et stratégiques, comment donc peut-on promouvoir une politique économique de développement ou même de croissance qui cherche à susciter un développement à l’intérieur du pays basé sur une modernisation et une mise en valeur des pôles de développement régional?
En d’autres termes, comment la planification du développement économique du Maroc serait réalisable alors qu’en même temps, un authentique développement régional est seulement légitimé par la réussite d’une atténuation de l’extraversion qui résulte de l’intégration libérale de toute l'économie marocaine dans le marché international.
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«Si le Maroc signe cet accord, c’est d’abord pour courtiser les investisseurs étrangers», affirme Jawad El Kerdoudi, président de l’Institut Marocain des Relations Internationales.
En deçà de tout cela, le Canada dans sa présentation du Maroc comme partenaire ne fait nullement mention de leur contribution dans l'implantation d'usines canadiennes ou le transfert de technologie ou du Savoir-Faire (know-how) qui pourrait contribuer directement dans un réel développement de l’économie marocaine.
Dans le Maroc actuel existe un paradoxal environnement ou les équilibres externes, y compris les comptes courants sont continuellement maintenus dans une position de faiblesse et de dépendance a l’égard des aléas de la conjoncture internationale, je me pose et je vous pose ces questions:
Comment le Gouvernement Marocain actuel issu des partis politiques, ayant un mandat limité dans le temps comme dans la représentation parlementaire, peut entreprendre une stratégie de la régionalisation et cela sans planification rationaliste et participative.
Seule la croissance économique, et non un développement ayant des réalisations nationales dépassant les considérations partisanes, peut être l'objectif d'un gouvernement agissant dans un cadre régi par des échéances électorales et et des considérations purement politiciennes.
La région en tant que espace économique ne doit nullement devenir une enclave introvertie mais une structure productive intégrée dans une perspective locale, régionale, nationale et internationale. Toutes les affinités et les particularités de chaque région sont ainsi mis en valeur avec de moyens de fructification et d’enrichissement. Cette approche doit donner la priorité a la Valeur Ajoutée de ces régions dans le processus de réhabilitation des régions intérieures du Maroc. Ces régions demeurent dégarnies par une faiblesse des allocations budgétaire vu leur niveau de contribution fiscale doivent être réévaluées en fonction et a l’échelle des autres autres régions limitrophes et celles au delà des frontières nationales.
En effet, une revalorisation des ressources locales et régionale est a entreprendre par la mise en place de paramètres de désignation et d'attribution des normes de qualité nationale et internationale. En cela, le Maroc ne peut plus s'orienter vers une régionalisation strictement régionaliste néo-coloniale et subcapitaliste mais a travers une politique d’intégration multiforme et multidimensionnelle y compris au niveau de toute la Méditerranée Septentrionale, l'Afrique Maghrébine et Subsaharienne.
Face à ces handicaps structurels et stratégiques, comment donc peut-on promouvoir une politique économique de développement ou même de croissance qui cherche à susciter un développement à l’intérieur du pays basé sur une modernisation et une mise en valeur des pôles de développement régional?
En d’autres termes, comment la planification du développement économique du Maroc serait réalisable alors qu’en même temps, un authentique développement régional est seulement légitimé par la réussite d’une atténuation de l’extraversion qui résulte de l’intégration libérale de toute l'économie marocaine dans le marché international.
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Intégration dans le Marché Mondial par la Sous-Traitance Automobile:
Le Cas de Renault au Maroc
Quel est le Prix qu'a payé le Maroc pour avoir l'exportation de ces 1 million de Renault Dacia?
Renault Morocco: 1 million vehicles exported on June 6, 2017
This article that will allow you to take the ride and to explore the drive of Renault from the edge of bankruptcy to the rise of its model Logan to international preeminence, fame and success including this 1 Million of vehicles produced and exported from Morocco. Read
Industrie de la Sous-Traitance Automobile au Maroc
Si le Maroc a pu concrétiser un tel envol dans l’automobile, c’est d’abord grâce aux atouts nombreux structurels que lui procurent particulièrement
Sa stabilité institutionnelle, politique et macro-économique
Son ouverture sur l’extérieur par les divers accords de libre-échange conclus avec les partenaires du pays
Les réformes structurantes menées pour l’amélioration du climat des affaires qui ont permis au Maroc de faire un bond de 43 places en 5 ans dans le classement Doing Business, passant de la 130ème place en 2009 à la 87ème en 2014
Les efforts massifs consentis dans les infrastructures routières aériennes portuaires et industrielles qui permettent rapidité des déplacements des hommes, des flux de marchandises et des données. L’essor de l’industrie automobile marocaine est aussi le fruit de la vision tracée pour le secteur et de l’offre de valeur particulièrement attractive développée. Cette offre repose sur
La mise en place d’une infrastructure d’accueil de qualité avec 2 plateformes industrielles intégrées dédiées ayant un statut de zone franche a savoir Tanger Automotive City et Kénitra Automotive City.
Une stratégie de formation innovante et pragmatique adaptée au besoin du secteur: 3 instituts de formation aux métiers de l’industrie automobile (IFMIA) ont été mis en place :
La contribution de l’Etat à l’installation et à l’acquisition d’équipements via le Fonds Hassan II pour le Développement Economique et Social en vue d’alléger le coût de l’investissement initial (30% des coûts professionnels de construction, limités à 180 EUR/m², 15% des coûts d’équipements pour l’investissement en machines, contribution du fond à 15% du montant de l’investissement, plafonné à 30 millions de dirhams).
Suite lire: Le Secteur Automobile au Maroc
Industrie de la Sous-Traitance Automobile sur la Méditerranée
Infrastructure Routière comme Destination Défaillante sur l'Atlantique
Deux Voies Séparées et Séparation en Deux des Communautés Rurales:
Autoroute El Jadida - Safi
Autoroute El Jadida - Safi
Introduction et Répétition Autoroutière:
Ils avaient coupé en deux tous les périmètres banlieusards habités et les installations construites par des habitants que ce soit des douars ou des habitations temporaires [bidonvilles] et cela lors de la construction de la première autoroute au Maroc, celle reliant Casablanca a Rabat.
Pour parer au problème de la traversée de l'autoroute et aux accidents routiers conséquents, ils avaient construit tout le long de l'autoroute des murs qui furent percés par la suite par les habitants pour pouvoir traverser et enjamber le mur de séparation tel qu'un Mur de la Honte.
Je me rappelle lorsqu'on empruntait cette "autoroute" en direction de Rabat, on voyait des gens même portaient leurs ânes et les chariots et les faire traverser d'un cote a l'autre cette nouvelle autoroute. C’était un conte de désastre qui s'offrait au regard, surtout que je revenais d'Allemagne. En fait, les Autostrada furent en premier construite en Italie et par la suite sous forme de Autobahn en Allemagne ou elles furent construites durant les années trente du siècle passé. Cependant, elles n'avaient nullement provoquées de telles scènes ridicules et inconsidérées.
En effet, "le concept d'autoroute naît en Allemagne avec l'AVUS en 1909. La première autoroute au monde (en italien, autostrada), l’autoroute des Lacs a été construite en Italie en 1924 pour relier Milan à la région des lacs (77 km)." Fin de citation.
Par contre, l'autoroute de Casa-Rabat fut construite sur la base des plans ayant été dessinés par les Autorités Françaises du Protectorat donc elle fut conçue lorsque Casablanca n'avait pas encore eu la périphérie et les banlieux que son développement a connu par la suite en conséquence de l'exode rurale dans les années soixante et soixante dix et depuis lors.
On peut donc soit déduire et même spéculer que ceux qui ont donc décidé de construire l'autoroute entre Casa et Rabat ont fait fi de cette différence de temps et de dimension urbaine nouvelle, des fluctuations des mouvements migratoires internes et avaient donc construit une autoroute qui sépara des familles et coupait en deux des quartiers et une agglomération d'habitations, des souks et et même des marchés aux puces.
Nouvelle Infrastructure Routière et Récurrence de Déviations Structurelles:
L'autre caractéristique de ces récentes constructions des autoroutes au Maroc, c'est qu'en comparaison a celles construites actuellement dans les autres pays; celles prenant place au Maroc demeurent a un stade initial dans le classement des autoroutes, puisqu'elles ne possèdent donc deux chaussées à sens unique.
En réalité, la conception d'une autoroute présente plusieurs caractéristiques elle "comporte deux chaussées à sens unique, séparées par un terre-plein central ou une double glissière de sécurité, ce qui rend très improbables les chocs frontaux. chaque chaussée comporte une ou plusieurs voies de circulation, ainsi qu'une bande d'arrêt d'urgence (BAU) sur le côté extérieur de celle-ci, laquelle est en général également bordée par une glissière de sécurité ou un terre-plein et qui permet de s'arrêter en cas d'urgence sans gêner la circulation. Sur certaines portions réduites la BAU est inexistante : la vitesse limite est alors abaissée." Fin de citation.
Par la présence de seulement deux voies, ces autoroutes au Maroc peuvent être considérées a ce stade comme plutôt des "Voies Express" - "Express-way" ou bien "Highway" telle qu'elles sont désignées aux Etats Unis alors que les Freeway - Autoroutes possèdent 4 et 6 voies allant dans chaque sens de l'autoroute. En effet, les notions d'autoroutes demeurent multiples dans leurs désignations, a savoir les autoroutes urbaines, les voies rapides, et les voies rapides urbaines.
Cette réduction des voies au minimum 2 voies, est encore une fois une démonstration de la volonté des décideurs marocains des travaux publics de construire des autoroutes sur le modèle et sur la capacité hérités des plans laissés par le Protectorat Français, puisque a cette date la circulation des véhicules et le débit du trafic routier restaient limités dans l'espace comme dans le nombre et donc ne nécessitait ni de larges artères doublées de voies multiples lors de la planification et la construction des autoroutes au Maroc durant ce temps et durant les années de l’après-guerre.
Si c'est deux voies sont conçues comme des premiers jalons d'un politique d’élargissement et d’agrandissement ultérieurs, ceci serait une option valable et demeure donc une avancée dans le bons sens de l'implantation d'une infrastructure de base pouvant être renforcée par la suite. Toutefois, ces incidents et ces manifestations des populations locales devraient permettre une reconsidération des impacts locaux de telles constructions.
D’après les désignations des Experts en la matière, une autoroute abouti a désenclaver une région et participe au développement économique et aux plus-values foncières mettant ainsi sur la carte des réseaux routiers les régions desservies et traversées par l'autoroute, facilitant ainsi les échanges et le flux commerciaux et humains avec les autres régions tout en devenant un lien local intégré dans le réseau routier et de communication national. L'autre aspect est que les autoroutes peuvent aussi servir a la construction parallèle d'un réseau de communication, un réseau de distribution de données électronique, d’électricité et autres produits énergétiques.
Voila une topographie rapide des voies rapides construites actuellement au Maroc comme des réalisations d'une politique de développement national de l'infrastructure qui en définitive ne tient pas compte des besoins de la population environnante et limitrophes qui sont considérés sur les tables des ingénieurs et des décideurs comme des populations inexistantes ou transparente comme l'horizon du paysage marocain tant naturel qu'humain que l'on transforme a coup de bulldozer et de décisions prises a la hâte sans études compréhensive et sociétal tenant en compte les spécificités démographiques et culturelles régionales a travers une évaluation méthodique des besoins des populations vivant a proximité de ces nouvelles constructions de voie de communication.
Il s’avère donc que ces réalisations demeurent guidées par tout autre impératif que la facilitation de la circulation et l'instauration de nouvelles formes de rapprochement et d’intégration entre les diverses régions et leurs populations marocaines. Cette impression résulte du fait que ces autoroutes depuis leur première construction entre Casablanca et Rabat furent entreprises sans pour autant avoir des solutions préalablement conçues par rapport et en relation directe avec la nature des besoins primordiaux de la circulation, l’échange et la communication et les opérations d'interaction commerciale et culturelles des citoyens marocains ruraux locaux et régionaux.
L'introduction de nouvelles infrastructures routières en tant que manifestation développementaliste et comme revitalisation de l’économie régionale, en principe doit avoir un effet de stimulation des activités locales et non une entrave des traditions tribales et productives locales. En effet, un développement d'une telle envergure et de contenance doit en première considération et comme ultime objectif avoir comme premiers bénéficiaires les populations adjacentes, rurales et environnantes tout le long du trace de cette autoroute.
En somme, c'est l'essor régional et de ses populations que cette nouvelle réalisation routière devrait et pouvait entraîner dans son sillage et cela qu'importe la configuration ou la dimension ou même le nombre des allées construites comme autoroute ou voie-express entre El Jadida et Safi ou toute autre villes au Maroc.
Said El Mansour Cherkaoui 12/6/16
Additionnelles sources:
http://aujourdhui.ma/societe/nouvelle-strategie-nationale-de-securite-routiere-2016-2025-les-premiers-details
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_routier_marocain
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autoroute
Ils avaient coupé en deux tous les périmètres banlieusards habités et les installations construites par des habitants que ce soit des douars ou des habitations temporaires [bidonvilles] et cela lors de la construction de la première autoroute au Maroc, celle reliant Casablanca a Rabat.
Pour parer au problème de la traversée de l'autoroute et aux accidents routiers conséquents, ils avaient construit tout le long de l'autoroute des murs qui furent percés par la suite par les habitants pour pouvoir traverser et enjamber le mur de séparation tel qu'un Mur de la Honte.
Je me rappelle lorsqu'on empruntait cette "autoroute" en direction de Rabat, on voyait des gens même portaient leurs ânes et les chariots et les faire traverser d'un cote a l'autre cette nouvelle autoroute. C’était un conte de désastre qui s'offrait au regard, surtout que je revenais d'Allemagne. En fait, les Autostrada furent en premier construite en Italie et par la suite sous forme de Autobahn en Allemagne ou elles furent construites durant les années trente du siècle passé. Cependant, elles n'avaient nullement provoquées de telles scènes ridicules et inconsidérées.
En effet, "le concept d'autoroute naît en Allemagne avec l'AVUS en 1909. La première autoroute au monde (en italien, autostrada), l’autoroute des Lacs a été construite en Italie en 1924 pour relier Milan à la région des lacs (77 km)." Fin de citation.
Par contre, l'autoroute de Casa-Rabat fut construite sur la base des plans ayant été dessinés par les Autorités Françaises du Protectorat donc elle fut conçue lorsque Casablanca n'avait pas encore eu la périphérie et les banlieux que son développement a connu par la suite en conséquence de l'exode rurale dans les années soixante et soixante dix et depuis lors.
On peut donc soit déduire et même spéculer que ceux qui ont donc décidé de construire l'autoroute entre Casa et Rabat ont fait fi de cette différence de temps et de dimension urbaine nouvelle, des fluctuations des mouvements migratoires internes et avaient donc construit une autoroute qui sépara des familles et coupait en deux des quartiers et une agglomération d'habitations, des souks et et même des marchés aux puces.
Nouvelle Infrastructure Routière et Récurrence de Déviations Structurelles:
L'autre caractéristique de ces récentes constructions des autoroutes au Maroc, c'est qu'en comparaison a celles construites actuellement dans les autres pays; celles prenant place au Maroc demeurent a un stade initial dans le classement des autoroutes, puisqu'elles ne possèdent donc deux chaussées à sens unique.
En réalité, la conception d'une autoroute présente plusieurs caractéristiques elle "comporte deux chaussées à sens unique, séparées par un terre-plein central ou une double glissière de sécurité, ce qui rend très improbables les chocs frontaux. chaque chaussée comporte une ou plusieurs voies de circulation, ainsi qu'une bande d'arrêt d'urgence (BAU) sur le côté extérieur de celle-ci, laquelle est en général également bordée par une glissière de sécurité ou un terre-plein et qui permet de s'arrêter en cas d'urgence sans gêner la circulation. Sur certaines portions réduites la BAU est inexistante : la vitesse limite est alors abaissée." Fin de citation.
Par la présence de seulement deux voies, ces autoroutes au Maroc peuvent être considérées a ce stade comme plutôt des "Voies Express" - "Express-way" ou bien "Highway" telle qu'elles sont désignées aux Etats Unis alors que les Freeway - Autoroutes possèdent 4 et 6 voies allant dans chaque sens de l'autoroute. En effet, les notions d'autoroutes demeurent multiples dans leurs désignations, a savoir les autoroutes urbaines, les voies rapides, et les voies rapides urbaines.
Cette réduction des voies au minimum 2 voies, est encore une fois une démonstration de la volonté des décideurs marocains des travaux publics de construire des autoroutes sur le modèle et sur la capacité hérités des plans laissés par le Protectorat Français, puisque a cette date la circulation des véhicules et le débit du trafic routier restaient limités dans l'espace comme dans le nombre et donc ne nécessitait ni de larges artères doublées de voies multiples lors de la planification et la construction des autoroutes au Maroc durant ce temps et durant les années de l’après-guerre.
Si c'est deux voies sont conçues comme des premiers jalons d'un politique d’élargissement et d’agrandissement ultérieurs, ceci serait une option valable et demeure donc une avancée dans le bons sens de l'implantation d'une infrastructure de base pouvant être renforcée par la suite. Toutefois, ces incidents et ces manifestations des populations locales devraient permettre une reconsidération des impacts locaux de telles constructions.
D’après les désignations des Experts en la matière, une autoroute abouti a désenclaver une région et participe au développement économique et aux plus-values foncières mettant ainsi sur la carte des réseaux routiers les régions desservies et traversées par l'autoroute, facilitant ainsi les échanges et le flux commerciaux et humains avec les autres régions tout en devenant un lien local intégré dans le réseau routier et de communication national. L'autre aspect est que les autoroutes peuvent aussi servir a la construction parallèle d'un réseau de communication, un réseau de distribution de données électronique, d’électricité et autres produits énergétiques.
Voila une topographie rapide des voies rapides construites actuellement au Maroc comme des réalisations d'une politique de développement national de l'infrastructure qui en définitive ne tient pas compte des besoins de la population environnante et limitrophes qui sont considérés sur les tables des ingénieurs et des décideurs comme des populations inexistantes ou transparente comme l'horizon du paysage marocain tant naturel qu'humain que l'on transforme a coup de bulldozer et de décisions prises a la hâte sans études compréhensive et sociétal tenant en compte les spécificités démographiques et culturelles régionales a travers une évaluation méthodique des besoins des populations vivant a proximité de ces nouvelles constructions de voie de communication.
Il s’avère donc que ces réalisations demeurent guidées par tout autre impératif que la facilitation de la circulation et l'instauration de nouvelles formes de rapprochement et d’intégration entre les diverses régions et leurs populations marocaines. Cette impression résulte du fait que ces autoroutes depuis leur première construction entre Casablanca et Rabat furent entreprises sans pour autant avoir des solutions préalablement conçues par rapport et en relation directe avec la nature des besoins primordiaux de la circulation, l’échange et la communication et les opérations d'interaction commerciale et culturelles des citoyens marocains ruraux locaux et régionaux.
L'introduction de nouvelles infrastructures routières en tant que manifestation développementaliste et comme revitalisation de l’économie régionale, en principe doit avoir un effet de stimulation des activités locales et non une entrave des traditions tribales et productives locales. En effet, un développement d'une telle envergure et de contenance doit en première considération et comme ultime objectif avoir comme premiers bénéficiaires les populations adjacentes, rurales et environnantes tout le long du trace de cette autoroute.
En somme, c'est l'essor régional et de ses populations que cette nouvelle réalisation routière devrait et pouvait entraîner dans son sillage et cela qu'importe la configuration ou la dimension ou même le nombre des allées construites comme autoroute ou voie-express entre El Jadida et Safi ou toute autre villes au Maroc.
Said El Mansour Cherkaoui 12/6/16
Additionnelles sources:
http://aujourdhui.ma/societe/nouvelle-strategie-nationale-de-securite-routiere-2016-2025-les-premiers-details
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_routier_marocain
https://fr.wikipedia.org/wiki/Autoroute
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